Plusieurs cas d’enlèvements et de trafics d’êtres humains, de pratiques barbares sont redevenus monnaie courante au Tchad et font penser aux périodes sombres de la traite négrière. Les organisations de droits humains tirent la sonnette d’alarme et pointent du doigt la responsabilité de l’Etat. Les enlèvements de personnes, quels que soient les mobiles ou les objectifs, ont repris du poil de la bête ces derniers temps. Le dernier en date qui a défrayé la chronique, a été celui de quatre humanitaires de l’Ong World vision international au début de ce mois dans le Lac, alors qu’ils rentraient de N’Djaména à…
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