Assumer la dictature

À défaut de traduire en actes les paroles que l’on profère, il faut avoir la grandeur d’âme de tenir un discours en adéquation avec ses actes. Car, rien ne célèbre mieux notre courage que la liberté d’esprit qui consiste à s’affirmer sans complexe, à dire les choses telles qu’elles sont et non telles que l’on les fantasme. L’antagonisme systématique entre la parole et l’action est révélateur de la transpiration d’une âme blette et d’un esprit pervers; deux attributs abjects qui fondent la matrice des penchants toxiques. La démocratie proclamée avec tambour et trompette il y a trente ans n’est plus…

Vous devez être connecté pour voir ce contenu. Cliquez ici

Je n'ai pas d'abonnement encours.