Samedi dernier, dans un hôtel de la capitale, la désignation des cinq représentants des jeunes devant siéger au comité d’organisation du prochain dialogue national a tourné à un pugilat. Deux jours plus tôt, au même endroit, les leaders des partis politiques ont failli offrir le même spectacle. Deux d’entre eux en sont presque venus aux mains. Comme pour les jeunes, la désignation des politiciens a été suspendue; ceux-ci ont jusqu’à ce lundi pour transmettre la liste de leurs représentants au ministre de la Réconciliation nationale et du dialogue. En politique, tous les coups sont permis. Nous en avons déjà un…
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