L’Homme a beau être conscience de soi, il ne demeure pas moins réceptacle de la conscience d’autrui ; une inter-personnalité susceptible de le poser en jouet de ses semblables. Les compliments ou les critiques, les attentions ou les indifférences sont autant de facteurs à même d’influencer pour le pire nos humeurs, nos états d’esprits, nos penchants, nos comportements. Aussi, est-il indispensable pour chaque sujet de s’imposer une distance raisonnable dans son rapport à ses semblables afin de ne sombrer ni dans un pleutre complexe d’infériorité, ni dans un capiteux aveuglement de la folie de grandeur. Depuis quelque temps, chaque parole,…
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