Prendre la partie pour le tout est sans doute le symptôme premier d’un simplisme d’esprit. C’est, en tout cas, illustratif d’une certaine fragilité intellectuelle. Car ce que l’on nomme intelligence n’est rien d’autre que l’aptitude de l’esprit à appréhender les choses dans leur complexité pour en saisir les implications et articulations. Autrement dit, c’est la capacité à se dépendre d’une lecture hâtive et superficielle de chaque réalité. De toutes les broutilles des dispositifs çà et là préconisées pour tenter d’endiguer la propagation du célèbre nouveau virus respiratoire, celle qui cristallise toutes les énergies, mobilise toutes les agitations, reste le port…
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