(…) Evidemment, dans ce combat commun, il est hors de question que les travailleurs se fondent dans les partis politiques ou laissent ceux-ci prendre la direction de la riposte collective : s’il est nécessaire qu’ils luttent ensemble pour ces revendications qui leur sont communes, chacun devrait rester sous son drapeau parce qu’ils n’ont pas le même agenda. En effet, pour les partis bourgeois de l’opposition, la démocratie est une fin en soi, mais, pour les travailleurs, elle n’est qu’un moyen pouvant leur permettre de s’organiser pour défendre collectivement leurs intérêts spécifiques, tant sociaux que politiques : s’exprimer, faire des grèves,…
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