N’Djaména confinée totalement ou simplement isolée du reste du monde, pour ainsi reprendre le chant des interprétations divergentes tenues au sommet de l’Etat, l’on aura retenu que les citoyens de la cité capitale tirent le diable par la queue depuis deux semaines, au nom des mesures dont l’exécution par le gouvernement ressemble à tout sauf à la lutte contre la pandémie de Covid-19. Jamais une mesure gouvernementale n’a aussi souffert de contestations que celle instituant le confinement de la ville de N’Djaména. Transports aériens et terrestres interdits, établissements d’enseignement et lieux de cultes fermés, bars, restaurants, marchés fermés, etc. Le…
Vous devez être connecté pour voir ce contenu. Cliquez ici