La transition qu’il faut

Depuis la semaine dernière, une mission de l’Union africaine (Ua) séjourne à N’Djaména. Elle multiplie les contacts tous azimuts. Elle a même rencontré la junte et il se susurre que son chef, le général Mahamat Idriss Déby (alias Mahamat Kaka) serait prêt à lâcher le pouvoir si le président de l’Assemblée nationale, Haroun Kabadi, accepte de diriger la transition. L’Ua, avec à la tête le président congolais Félix Tshisekedi qui en assure la présidence en exercice, exige le retour à l’ordre constitutionnel. Même le président Macron qui avait adoubé Mahamat Kaka a fait rétropédalage en affirmant qu’il ne soutenait pas…

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