N’Djaména dans le noir

Certains arrondissements de la capitale sont plongés dans l’obscurité la nuit tombée, malgré l’existence des lampadaires sur certaines grandes voies. Une situation à l’origine de nombreux ennuis de la population qui crie à l’insécurité.

Sur les avenues de la capitale, les poteaux d’éclairage sont soit tordus, fendus, soit couchés par terre, ou encore sans ampoule. Au coucher du soleil, le pont à double voie par exemple, est partiellement éclairé sur un seul côté. Là encore ce ne sont pas tous les lampadaires qui fonctionnent. Le “Rond-point 10 octobre” comme ses environs baignent ainsi dans l’obscurité. Ce sont les concessions riveraines qui éclairent plutôt cette avenue.

Les différents corridors de la ville ne sont éclairés que sporadiquement par les phares des motos et des voitures. Malheur à celui dont l’engin ne dispose pas de phare. Difficile de compter sur l’éclairage public.

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